Ayant vu ma collègue dans le couloir, j'étais allée donner cours dans ma salle puis je me dirigeais vers l'amphithéâtre pour aller donner le cours. Rentrant dans la salle de classe, je posais mes affaires sur le bureau de l'amphi. Allant ouvrir la fenêtre pour aérer la salle. J'allais écrire alors le titre sur le tableau. Puis préparant mon cours, je m'assis sur la chaise. Il était sure que je ne manquerais pas de faire mon cours. Puis préparant mon cours, je vis venir de loin un élève. Me rappelant alors en regardant la feuille d'appel que s'était Pinkaew Chaiyo. Comme je me levais, je m'approchais de lui et l'invitant à s'asseoir je lui dis.
- " Bonjour Pinkaew Chaiyo, comment est-ce que vous allez ? "
Je me rappelais que je n'avais pas grand chose à dire à par que je ne le voyais pas beaucoup ces temps-ci. Et fermant le cahier d'appel. Je l'observais un moment, il avait l'air fatigué. Puis il est vrai que chacun à se s soucis. Remarquant qu'il y avait du vent venant de la fenêtre. Je pris alors le temps de me lever et d'aller fermer la fenêtre. Revenant alors devant son élève. Elle lui dis.
- " Tu est bien en avance, cela me surprend. As-tu des soucis ? Je ne te vois pas souvent, mes collègues disaient que tu abandonnais. Et je leur ait répondu que cela n'était pas dans ton caractère. "
Allant m'asseoir sur le bord du bureau, je vis que l'élève allait être timide ou pas. De toute façon il n'était pas obligé de me dire se qui n'allait pas. Et puis comme chacun est libre de dire se qu'il veut. Je me demandais bien se qu'il allait me répondre.
- " Pour ne pas que tu sois trop en retard, je te donnerais des fiches de cours. Comme cela tu pourras rattraper ton retard. "
Puis me retournant j'allais prendre dans mon sac une pochette en plastique. Dedans, il y avait les fameuses fiches. Alors que je m'avançais vers lui, je lui posais sur la table. En lui disant.
- " Tiens les voila, tu peux les garder. "
Il est vrai que je ne savais pas trop comment faire ou dire, mais vu mon avance par rapport à mon cours j'avais largement le temps de lui parler. Il me tardait de savoir les réponses qu'il allait me donner. Retournant m'asseoir sur le bord du bureau je l'observais de ma place. Le silence commençait à venir mais il ne me dérangeais pas. Je préférais le laisser répondre tranquillement sans le stresser. Il était sure qu'elle attendrait patiemment.
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