DESCRITPTION GENERALE : Je mesure un mètre soixante-dix-sept pour cinquante kilos, et malgrè le fait que je paraisse fragile ou tout ce que vous voulez, je suis bien tout l'inverse au niveau du tempérament. J'ai une peau aussi douce que de la soie, un visage triangulaire avec deux yeux d'un noir corbeau qui me donne un regard mystérieux, difficile à cerner voire me rendant même inaccessible.. Mes cheveux ne sont pas très long, ils m'arrivent jusqu'à la nuque et sont brun foncé aux reflets rouges.
Mon expression du visage tend à faire croire aux gens que je suis quelqu'un de timide, de réservé et tout autres choses allant dans ce sens... C'est marrant combien l'apparence peut facilement nous jouer des tours ! Je prend énormément soin de moi et ca se voit rien qu'à voir comment je m'habille ~
STYLE VESTIMENTAIRE : La partie que je préfère ! Je suis très branché mode alors au niveau vestimentaire, j'ai des goûts assez particuliers.
Vous ne me verrez jamais avec des pantalons larges ou des shorts.. Oh non jamais ! J'ai horreur de ca ! Je préfère largement porter des jeans, des slims, déchirés ou non, c'est tellement mieux et stylés.
Question tee shirt, j'aime un peu tout, tant que cela tend vers le gris, le banc ou même le noir. J'ai un pull que j'aime particulièrement; il est noir et blanc à carreau. Ca me donne un air un peu intellectuel je sais, mais j'aime tellement ! Ca me change entièrement, tout en restant moi-même intérieurement.. Haha. J'ai d'ailleurs fait un tee shirt il n'y a pas longtemps où j'y ai peint "I
ME" , c'est en quelque sorte mon tee-shirt fétiche.
SIGNE PARTICULIER :J'ai la fâcheuse manie de toujours remettre ma frange en place d'un geste de ma main ou de ma tête. J'ai aussi un tatouage sur le poignet gauche où j'y ai écrit "Trust your voice".
CARACTERE : Monsieur Pretencieux:
C'est souvent comme cela que les gens qui ne me connaissent pas me surnomme. Mais bon, je m'en fous royalement. Je sais que j'ai du talent, autant pour la guitare que pour le chant, que j'ai du style et que je suis beau. Comment nier cette évidence? Je sais que je suis prétencieux, arrogant et cynique en plus de cela. Et ma trop grande franchise en rajoute une couche. A trop dire la vérité, les gens préfèrent me haïr. A croire qu'ils préfèrent entendre le mensonge.. Pathétique. En même temps, mon cynisme prend trop facilement le dessus, je l'avoue. Encore plus car je reste impassible face au remarque que je me prend en retour. Je m'en fous de l'avis des autres, je vis pour moi sans me soucier des conséquences que cela peut engendrer plus tard. A quoi bon se soucier de cela ? Ca n'a pas d'importance, sauf à nous faire ralentir et à ne pas nous laisser vivre comme on le voudrait.
Je dis ce que je pense, que cela blesse ou non. Vous pouvez pleurer autant que vous voulez devant moi, franchement maintenant cela ne me fait plus rien. Tellement de larmes ont coulé à cause de moi.. Je suis tellement détestable au point que certains me jalousent. Marrant hein ? Mais bon, je vous pardonne. J'aime quand on me jalouse, cela me motive à progresser.
Un vrai don Juan:
J'aime les femmes, c'est plus fort que moi. Je ne peux pas m'empêcher de céder face à elle. Mes relations avec elle sont généralement d'une nuit et j'en suis plutôt content. Je ne veux pas m'encombrer de filles totalement accro à moi.. Ca me fait trop peur ce fanatisme.. Mais je ne peux pas m'en empêcher.. Et bien souvent elles finissent en larme dès lors que je quitte leur chambre. Non mais vraiment, je n'ai pas que ca à faire moi, et elle devrait le savoir quand même ! Oh oui, elles sont fières d'avoir couchée avec un homme aussi beau et doué que moi, vous pouvez en être certain, et ca flatte mon égo. Mais par pitié qu'elles arrêtent les larmes ! Ca m'énerve plus qu'autre chose. Alors maintenant, j'affiche mon air impassible face à elles, que cela leur fende le coeur encore plus ou non, je m'en contre fiche. Tant pis pour elles. Je suis détestable, je sais. J'aime draguer, j'aime profiter de ma jeunesse autant que possible et je ne compte pas m'arrêter en si bon chemin. J'ai réussi à me libérer de mon passé, à guérir de pas mal de blessures que l'on m'a fait subir.
Malgrè tout cela j'ai un coeur:
Au premier abord, je vous paraît adorablement détestable, hein ? Le fait que je sois fier de moi vous insupporte au plus haut point, ainsi que le fait que je joue avec le coeur des filles ? Vous pensez que je suis insensible ? Détrompez-vous, mon point faible se trouve être mes amis. Je les aime, je ris avec eux, je les protège qu'importe cela me coutera, dès qu'ils ont besoin de moi je suis toujours là pour eux. Jamais je ne pourrai supporter qu'on leur fasse du mal, et encore plus si c'est à moi que vous en voulez. Je déteste la lâcheté, c'est bien la chose qui m'énerve le plus d'ailleurs. Et je ne suis pas du genre à pardonner facilement, oh loin de là... Je suis quelqu'un de trop rancunier pour cela.. Si vous me cherchez, vous me trouvez vous pouvez en être certain ! Et ne croyez pas que je vous ai oublié simplement parce que je met du temps à préparer ma vengeance.. Je prend mon temps, je suis loin d'être un gars stressé par le temps. C'est aussi quelque chose que je n'aime pas... Devoir être guider par les heures qui s'écoulent. Comment peut-on vivre au dépend d'une horloge ? Je veux être mon propre maître, me la couler douce et profiter de ma jeunesse avec mes amis. Voilà tout.
Témoignage d'un ami: « Qui est Chuly ? Je me souviens que la première fois que je l'ai rencontré, je n'ai pas apprécié sa manière d'être.. Il me semblait hautain, hypocrite et arrogant... Et tout cela rien qu'en voyant sa manière de bouger dans la rue ! Il a une prestance qui vous donne cette impression.. Et puis cette air m'en-foutiste ne fait que nous refroidir dès qu'on le croise où qu'on entend parler de lui.. Ah ca oui ! On entend souvent parler de lui, et c'est rarement positif ! C'est que ce petit fait bien parler de sa personne autour de lui ! Il le sait, il aime ca... Mais malgré cette air qu'il se donne, un peu rebelle et tout ca, il est quelqu'un de sensible qui voue un culte pour l'art; un véritable artiste en herbe ! Comme dit un proverbe «l'habit ne fait pas le moine»; ne vous fiez jamais à la première impression que Chuly vous donne, ce n'est qu'une sorte de test pour voir si vous êtes quelqu'un en qui il peut avoir confiance. Aussitôt ce cap de passé, vous découvrirez un autre Chul Hei, vraiment différent de celui que vous avez croisé au départ.. On apprend à le connaître de nouveau.. C'est sa magie ! »
FAMILLE : Je n'ai ni frère, ni sœur.. Ma mère n'a jamais voulu me reconnaître comme son fils et je ne m'en plaint pas. Par rancune, je ne cherche pas à savoir qui elle est, je ne cherche même pas à reprendre contact avec elle. Concernant mon père, durant dix-huit dans de ma vie, j'ai vécu avec lui que je considérais comme mon modèle. Je m'entend très bien avec lui, et même si je suis parti pour vivre ma vie comme bon me semble, on est resté en très bon terme tout les deux. Étant petit, je cherchais à lui ressemblais, je suivais ses pas à la lettre. Il m'a appris pas mal de chose comme la guitare, la photographie et tout ces petits détails qui font ma passion maintenant.
HISTOIRE : Je n'ai jamais connu ma mère, et il m'a suffit d'un jour pour que mon petit monde s'écroule.
J'avais toujours cru que la famille ne se constituait que d'une seule personne: mon père. Je ne voyais jamais mes grand-parents du fait d'une dispute familiale qui avait éclatée quelques années auparavant, et qui était un peu trop difficile à comprendre à mon âge. Je n'avais ni frère, ni soeur, ni mère. Enfin.. Si j'avais bien une mère, mais je ne savais pas où elle était ni même qui elle était. On ne me l'a jamais présenté.
Etant enfant, je trouvais cela normal, et cela ne me blessai pas plus qu'autre chose. Il me semblait même que je m'en foutais un peu. Tout ce qui comptait pour moi, à cette époque là, c'était que mon père ne m'abandonne pas, il était mon idole, ma source d'inspiration, mon réconfort et mon meilleur ami.
C'est grâce à lui que la passion de la musique m'envahi; souvent, quand il avait le temps, il me faisait son petit concert privé avec sa guitare: Ladylin, comme il l'appelait souvent, et moi je l'écoutais toujours. Ses musiques me parlaient, me donnait la chaleur qui me manquait.. Comme la sensation d'avoir une mère vous serrant fort dans ses bras.
Ses concerts, il ne les faisait que pour moi car il savait que cela me rendait toujours heureuse. Alors en période de blues, il me suffisait d'entendre le chant de Ladylin pour me sentir mieux et retrouver le sourire. C'était notre petit moment à mon père et moi.
Avant, il était une star connu sur le continent asiatique. Il m'avait raconté que c'est comme ca qu'il avait rencontré ma mère. A la fin d'un de ses concerts, en corée, il avait filé dans un petit bar pour "terminer la soirée". Bien sûr, il avait trop bu... Et au réveil il s'était retrouvé avec une jeune femme dans le même lit.. Une très jolie femme..
C'était une histoire d'un soir, après cela, ils ne se sont plus revu..Enfin pour mon père en tout cas.
Il reprit sa vie comme avant, enchaînant créations d'albums, tournées, tournages de clip, interviews, photoshooting... Et j'en passe...
Puis un jour, alors qu'il rentrait dans son petit "chez soi", il y avait sur sa table basse, une montagne de courriers de fans.. Rien d'anormal, cela faisait parti de son quotidien de star comme il disait. Seulement, parmis toutes ces lettres, l'une d'entre elles l'avait... Choqué ? Surpris ? Anéanti ? Je ne sais pas trop quel mot employer pour décrire son ressentiment...
Cette lettre, si spéciale, contenait les phrase qui changèrent toute sa vie:
- Citation :
- «(...) Je suis enceinte par ta faute. Je n'ai jamais voulu l'être, mais je n'ai pas envie d'ôter une vie. Je le mettrai au monde, comme toute mère, mais je ne le reconnaitrai pas comme mon enfant. A toi d'en assumer la garde.»
Lui qui n'avait jamais prévu de devenir papa.. Il n'a jamais su me dire si c'était de la joie ou du dégoût qu'il ressenti à ce moment là.. Mais moi je crois qu'il n'a jamais voulu m'avouer qu'il ne supportait pas l'idée de vivre avec un petit être à ses côtés, voyant sa carrière flamboyante.. Pourquoi vouloir arrêter alors que tout marchait bien ? Le monde était-il contre son dos ?
Moi je n'ai rien demandé à personne, me faire voir le jour ou non ne me faisait ni chaud ni froid, mais quitte à vivre, autant avoir une vie de famille stable...
Le 22 Septembre, à l'hôpital de Busan, je vis le jour, mon père et... Ma mère quitta aussitôt l'hopital sans poser un seul regard sur moi.
Mon géniteur arrêta sa carrière pour s'occuper de moi.. Selon lui, il n'avait pas d'autres choix..
A présent, je ne sais pas si il regrette son geste.. Il m'a toujours avoué qu'il était heureux ainsi.. Mais parfois, j'avais l'impression qu'il me mentait, qu'en essayant de me faire plaisir, il se voilait aussi la réalité.. S'était-il persuadé que c'était la vie qu'il avait toujours voulu vivre ?
En apprenant cette histoire, cela m'avait ouvert les yeux sur ma mère, et mon sentiment " m'enfoutiste" la concernant, c'était transformé en répugnance. Il était clair que jamais je n'aurai voulu la voir, et je n'ai toujours aucunement envie de la rencontrer ni même de lui parler par n'importe quel moyen.
Revenons-en à moi... Depuis que j'étais petit je savais que je voulais faire carrière dans la musique, on m'avait toujours dit en plus de cela que j'étais talentueux.. Alors c'était une aubaine pour moi ! Mon premier groupe de musique remontait au collège. On était la bande de trois connu de l'établissement, c'était mon premier moment de gloire mais je me sentais mal à l'aise à cette époque car les filles nous adulaient pour notre célébrité, et non pour ce qu'on était au fond... Je n'aimais pas trop cela... Et franchement maintenant je me trouve crétin de ne pas avoir profiter de la situation ! Cela m'aurait évité pas mal de soucis... M'enfin on ne refait pas son passé.
Arrivé au lycée, mon meilleur ami est mort. Peine, tragédie pour moi, gros moment de déprime.. J'ai mal vécu cette période.. Je crois même que c'était la pire de toute.. Et puis j'ai vu pour la première fois l'amour.. J'y ai toujours cru mais ce n'était qu'une illusion.. Deuxième moment de grosse déprime... La galère !
Alors pour changé tout cela et me refaire intérieurement, j'ai décidé de tout quitter et de vivre indépendament.